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ISTC-FEJI : Désormais un « Prix Tanguy Blais » pour la meilleure production culturelle en JRI 

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La 11e édition du Forum des Étudiants en Journalisme de l’ISTC Polytechnique de Cocody (FEJI 11) a eu lieu le lundi 20 février 2023 à l’amphithéâtre ABL. Comme innovation à ce FEJI 2023, un prix « Tanguy Blais » a été initié. Ce nouveau prix récompensera désormais la meilleure production culturelle des Journalistes Reporters d’Images (JRI) au sein de cet établissement de référence de formation en journalisme en Côte d’Ivoire.

Une vue du panel animé par M. Lucien HOUEDANOU (Président du Cénacle des Journalistes séniors de Côte d’Ivoire) et M. Frédéric GRAH MEL (Journaliste culturel, Écrivain, Grand prix d’honneur CULTURA)

L’ISTC Polytechnique a accueilli le lundi 20 février 2023, un parterre d’invités dont de nombreux étudiants non seulement de l’ISTC Polytechnique, mais aussi d’autres établissements tels que ESMA, BLM ISACOM et bien d’autres. Ces étudiants en communication sont venus apprendre davantage à ce forum qui avait pour thème : « Responsabilité sociale du journalisme culturel ». Comme innovation à ce 11 FEJI, le nouveau prix portant le nom du Commissaire général de l’événement CULTURA « Tanguy Blais », qui récompense désormais les meilleurs journalistes culturels ivoiriens. Cette édition n’a eu de vainqueur face un jury de professionnels avertis et rigoureux dirigé par Mme Bintou Pékélé.

L’étudiant Philippe Akoua entouré de M. Tanguy Blais et de Mme la Directrice des études de l’ISTCI.

Ainsi donc, le candidat Philippe Akoua, étudiant en Master 1 en journalisme, a vu sa production de vin de palm local communément appelé « Bangui » se butter face aux critères exigés. Il a néanmoins reçu un prix d’encouragement à travers une enveloppe symbolique offerte par M. Tanguy Blais. D’où le Prix Tanguy de la meilleure production culturelle constitué de matériels de pointe de reportage d’une valeur d’environ deux millions de francs, a été confié à la direction de l’ISTC Polytechnique. Akoua Philippe qui s’est néanmoins démarqué, a promis redoubler d’efforts pour être à la hauteur à l’édition prochaine.

Autour du thème« RESPONSABILITÉ SOCIALE DU JOURNALISME CULTUREL » avec des sous-thème tels que « Responsabilité sociale du journalisme culturel », « La critique et le traitement de l’information culturelle » et « L’impact du journalisme culturel sur la consommation culturelle en Côte d’Ivoire » ont été au programme. Ils ont été respectivement animés par les journalistes et spécialistes dans ce domaine M. Olivier Yro (Président l’OJPCI et ancien président des journalistes culturels ivoiriens), M. Lucien HOUEDANOU (Président du Cénacle des Journalistes séniors de Côte d’Ivoire), M. Frédéric GRAH MEL (Journaliste culturel, Écrivain, Grand prix d’honneur CULTURA), M. Issa Tchonan Yéo (Journaliste culturel RTI 1) et M. Calixte ANGAMA (Président du Forum des Cadres Supérieurs de l’Action Culturel). La partie musicale du FEJI 11 a été assurée par la troupe N’Zrama d’Afrique d’Alex le Tigre.

En attendant la prochaine édition du FEJI afin d’un véritable lauréat de ce prix, M. Tanguy Blais et son équipe se concentrent sur l’organisation du prix Cultura du meilleur journaliste culturel ivoirien qui se tiendra en novembre prochain.

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Sokouamékro : Un modèle de transformation sociale impulsé par LafargeHolcim Côte d’Ivoire

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Le village de Sokouamékro, situé en Côte d’Ivoire, s’impose aujourd’hui comme un exemple concret de développement durable et de transformation sociale grâce à l’engagement de LafargeHolcim Côte d’Ivoire. Lauréate du prix de la “Meilleure initiative RSE” lors des AMEA Sustainability & CSR Awards 2024, l’entreprise a initié un projet éducatif d’envergure, illustrant son ambition de conjuguer responsabilité sociétale et amélioration des conditions de vie des communautés locales.

La nouvelle école moderne de Sokouamékro

Le projet phare de Sokouamékro repose sur la construction d’une école primaire moderne, comprenant six classes, des infrastructures sanitaires adaptées, et une capacité d’accueil de plus de 300 élèves. Cet investissement, d’un montant global de 200 millions de francs CFA, ne se limite pas aux structures de base. Il inclut des extensions en cours, telles qu’une cantine scolaire, des logements pour les enseignants et une bibliothèque, visant à garantir un environnement d’apprentissage optimal et pérenne.

L’initiative de LafargeHolcim ne se borne pas à l’éducation. En impliquant activement les habitants dans chaque étape du projet, l’entreprise a renforcé le lien de confiance avec la communauté locale. Des consultations régulières ont permis d’aligner les besoins des villageois avec les objectifs du projet, tandis que des programmes de formation professionnelle ont outillé les jeunes aux métiers de la construction, offrant ainsi des opportunités économiques durables.

Le DG de La LafargeHolcim inaugurant l’école primaire moderne de Soiouamékro.

Les efforts de LafargeHolcim s’étendent également à d’autres aspects cruciaux du bien-être communautaire. En 2021, un forage hydraulique alimenté par énergie solaire a été installé pour garantir un accès fiable à l’eau potable. Par ailleurs, des campagnes de santé communautaire sont organisées périodiquement en partenariat avec les autorités locales. À Brobo, une localité voisine, l’entreprise a réhabilité plusieurs infrastructures, lancé des journées d’excellence scolaire et entrepris la construction de latrines, renforçant son impact positif sur la région.

Ces réalisations témoignent de la vision stratégique de LafargeHolcim Côte d’Ivoire, axée sur une croissance inclusive et durable. En poursuivant des initiatives comme la réduction des émissions de CO2, le recyclage des déchets ou encore l’amélioration des infrastructures, l’entreprise réaffirme son rôle de catalyseur de développement. À travers Sokouamékro, LafargeHolcim illustre comment une approche bien pensée de la responsabilité sociétale peut transformer durablement des communautés et servir de modèle à d’autres initiatives en Côte d’Ivoire et au-delà.

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“Les Frasques d’Ebinto” au Cinéma : Un Appel à la Mobilisation pour un Film d’Exception

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Le 12 décembre 2024, la Fondation Donwahi a accueilli un after-work marquant, autour de l’adaptation cinématographique du roman emblématique « Les Frasques d’Ebinto », signé Amadou Koné. Charly Kodjo, fondateur d’ »Instant2vie Studio », a dévoilé les grandes lignes de ce projet culturel majeur, visant à allier patrimoine littéraire ivoirien et ambition cinématographique internationale.

Avec un budget estimé à 1,2 million d’euros, le film sera réalisé par Luc Gnepa, sur un scénario signé Armand Gauz. Ephraim OKA (Ebinto), Armande Lo (Monique) et Maud Guerard (Muriel) incarneront les personnages principaux, entourés de près de 900 figurants. Le tournage est prévu pour mars 2025, avec une sortie attendue pour la fin de la même année.

Les Frasques d’Ebinto ne se veut pas qu’un simple divertissement. Le film abordera des thèmes sociaux cruciaux tels que les grossesses précoces, encore trop fréquentes en Côte d’Ivoire. Plus qu’une œuvre artistique, c’est un appel à la réflexion et à la sensibilisation pour le public ivoirien et africain.


La Ministre de la Culture, Mme Françoise Remarck a suivie avec attention la présentation de ce projet majeur. 

Pour assurer la réussite de ce projet ambitieux, un appel à l’investissement local et international a été lancé. L’objectif est de financer 90 % du budget au niveau local, tout en s’ouvrant aux mécènes étrangers. Présente lors de l’événement, la ministre de la Culture, Françoise Remarck, a souligné l’importance de cette production pour le rayonnement culturel de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique.

Avec des projections prévues dans 10 grandes villes ivoiriennes, une diffusion en prime time sur les chaînes de télévision, et des avant-premières dans plusieurs capitales africaines, Les Frasques d’Ebinto s’annonce comme un rendez-vous cinématographique incontournable.

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Musique : Marcelyne C, de l’ombre à la lumière avec le single événement “Soûlard soûlé” !

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Le vendredi 29 novembre 2024 marque un tournant décisif dans la carrière de Marcelyne C. Dès 18h30, son single tant attendu, “Soûlard soûlé”, a été officiellement dévoilé sous le label M2G Production, avec un remix signé Jspeed.

Révélée par une version improvisée devenue virale sur TikTok, cumulant des milliers de challenges à travers l’Afrique et le monde, Marcelyne C, originaire de la région de l’Agneby-Tiassa, dans le sud-est de la Côte d’Ivoire, s’impose désormais sur la scène musicale. Jusqu’alors méconnue du grand public, l’artiste révèle enfin son identité à travers un titre qui réinvente les rythmes ivoiriens tout en visant une portée internationale.

Sous la direction de Richard Gbery, le patron de M2G Prod, Marcelyne C entame une carrière professionnelle ambitieuse, déterminée à imposer son style et son talent. Le clip officiel de “Soûlard soûlé”, disponible depuis ce soir, marque une nouvelle étape dans son parcours, annonçant une œuvre à la fois puissante et inspirante.

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